En 2017, j’ai eu le bonheur de visiter Dakar et ses petits trésors cachés grâce à Malick. Il n’avait pas encore développé son « Travel With Ziggy » (TWZ) mais je me dis qu’il y pensait déjà sûrement car ces moments qu’on aurait pû penser anodins dessinaient déjà les contours des offres de découvertes qu’il propose aujourd’hui. Je l’ai vu étoffer son catalogue. Je l’ai vu donner aux autres, au fil de ses aventures ; de manière positive, l’envie de voyager et pu assister à le voir transformer sa passion en des aventures accessibles à plus que lui-même.
J’ai rêvé depuis lors de participer à un séjour TWZ. Saint-Louis en juin dernier est tombé à pic !
Les aléas des conditions de trafic (embouteillages de Dakar…) n’ont pas entamé notre joie de voyageuses et voyageurs. Cette situation a créé les premiers échanges dans ce bus climatisé conduit par un super conducteur 👌🏽, très patient !
Je ne vous raconterais pas la route mais vous dire qu’une fois arrivé.e.s à Saint-Louis nous n’avons pas perdu une seule minute de nos 24h00 sur place. Le soir même concert d’Alune Wade au Saint-Louis Jazz Festival suivi d’une soirée afro electro complété par dîner de 2h00 du matin (cette affaire de méchoui là 😅). Le lendemain visite de la vieille ville, stop au village de Gandiol. Une étape du voyage qui m’a profondément marquée. Mamadou, habitant du village, ayant une histoire particulièrement forte et un projet de la même force.
Fouler les plages de sable de la langue de Barbarie a été le summum de mon séjour. On aurait pu me laisser là, que vous m’y aurez trouvé encore aujourd’hui. Seulement, il a fallu songer à reprendre la route vers Dakar. Nous n’avons pas manqué de d’abord nous restaurer d’un bon thieboudienne au « Darou Salam » Café.
Ces 24h top chrono à Saint-Louis ont fait que nous n’avons pas eu le temps de faire autrement que de nous connecter entre voyageurs, voyageuses. Je ressors de cette expérience nourrie, heureuse des rencontres faites. Au moment où j’écris ces lignes, le gang des “Babs Sauvages“ qui est né de ce voyage sévit encore à Paris. « Guin Guin Guin » !